QU’UN SANG IMPUR ABREUVE NOTRE SION… EDITO de Jacques KUPFER

Les terroristes abattus qui ont assassiné nos gardes-frontières sur le Mont du temple ont eu droit à des funérailles grandioses dans leur ville. Une foule en délire brandissant les torchons de l’OLP et scandant des slogans de destruction d’Israël a participé à ces enterrements. C’est dans cette même ville qu’un autre terroriste a été enterré avec les mêmes manifestations de haine de la population. Pendant que la Cour Suprême nous enjoint de donner le corps de ces barbares à leurs famille, les dépouilles de nôtres sont retenues par le hamas à gaza !
La ville en question, Oum el Fahm, fait parti intégrante du territoire israélien de 1948. Les résidents bénéficient donc de toutes les prestations sociales israéliennes, du droit de vote et exploitent le système lamentable de la discrimination positive en leur faveur. Sur la mairie, les écoles et les bâtiments publics, pas un seul drapeau d’Israël.
Sur l’ancienne place des Rois d’Israël, désormais appelée « place rabin », une manifestation décrétée par des associations gauchistes avait appelé à protester contre la loi de l’Etat nation. Une populace arabe s’est déversée en plein cœur de Tel-Aviv, brandissant les emblèmes de l’ennemi et scandant « par le feu et par le sang, nous te libérerons Palestine ».


Contre cette loi établissant la vérité première stipulant que l’État d’Israël est un état juif, les députés arabes de la Knesset vitupèrent. Ils continuent au grand jour à coordonner leurs activités avec le terroriste négationniste de Ramallah et agissent à l’ONU pour obtenir une condamnation d’Israël. La Cour suprême, dans son infini mépris des lois sionistes, autorise ce genre d’action de trahison.
Il est parfaitement concevable que des arabes ne veuillent pas vivre dans un État juif, honorer son hymne et ses emblèmes, en parler la langue et se comporter en résidents loyaux. Ils doivent dans ce cas quitter la terre d’Israël et rejoindre l’un des 22 pays de la ligue Arabe ou les pays d’Europe qui peuvent désormais postuler à leur admission dans cette institution. S’ils ne le font pas de leur propre gré, il appartient à l’État juif de les y forcer et de ne pas maintenir dans notre pays une cinquième colonne collaboratrice du terrorisme arabe. Et si ce qu’il désire c’est le combat alors, comme l’écrit le poète national Uri Zvi Grinberg « le glaive décidera qui est le seul maître ici ».

Jacques Kupfer

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