On peut rêver d’un tsunami qui laisserait la bande de Gaza purifiée de tous les miasmes du Hamas, du djihad islamique, du Fatah et de toute la haine financée par les Européens naïfs ou antisémites.
Nous avons abandonné cette parcelle de la Terre d’Israël, déraciné les pionniers juifs qui la faisaient refleurir, permis la destruction de nos synagogues. Nous subissons les résultats de cette erreur politique dramatique. Tous les quelques mois, de nouveaux tirs de mortier et de roquettes s’abattent sur nos villages en bordure de la ligne de cessez-le-feu. Toutes les quelques années, nos soldats doivent pénétrer dans cette zone polluée. L’argent que perçoivent les dirigeants arabes ne sert pas aux écoles, aux hôpitaux, ni à l’emploi ou à l’aide sociale. Il sert à la construction de tunnels d’attaque, d’usines d’armement et de développement du terrorisme.
Un obus de mortier est tombé dans la cour d’une école maternelle qui, grâce à D…, était vide. Notre réaction ne doit pas être conforme à la protection Divine dont nous bénéficions ni à l’incompétence des assassins de Gaza mais proportionnelle à leurs intentions.
Le but n’est pas d’obtenir une nouvelle trêve. Ce que nous devons obtenir c’est la capitulation finale de cette horde d’assassins. Ils ne doivent plus avoir la possibilité d’envoyer des roquettes ou des mortiers ou des cerfs-volants et ballons d’hélium incendiaires.
Aux mains des Juifs, le Goush Katif produisait une agriculture de pointe et même exportatrice. La désertification de la bande de Gaza, l’infiltration néfaste dans les nappes aquifères, ont réduit à néant toute production agricole à Gaza. Cela ne suffit pas et le Hamastan incendie les productions céréalières israéliennes.
La bande de Gaza doit avoir toutes ses infrastructures pulvérisées. À ces sauvages qui ne savent pas comment bénéficier de la paix qu’Israël veut leur offrir, il ne sert à rien de parler une langue civilisée. Ils ne comprennent en fait qu’un seul langage, celui utilisé par leurs congénères en Syrie.
Nos réactions ne doivent pas viser à engranger les félicitations du bout des lèvres des européens. La notion de population « civile innocente » n’existe pas à Gaza. Les habitants y ont volontairement élu et installé le Hamas et l’ont maintenu au pouvoir.
En attendant un miraculeux tsunami d’eau, que nos ennemis éprouvent toute la puissance de feu de Tsahal.
Jacques Kupfer
Président Israel Is Forever
