On a tourné autour du pot durant longtemps.Fabrication de toutes pièces d’un faux « peuple palestinien », condamnations d’Israël pour « colonisation », « apartheid », « occupation » de territoires, ripostes « disproportionnées » de « l’Armée d’occupation » contre la « résistance palestinienne ». Aujourd’hui, alors que le monde commence à se lasser de ces sempiternelles pseudo arguments, la nation arabe s’attaque à la véritable bataille: celle de Jérusalem et tente de rallier le monde à cette cause. Macron justifie les violences terroristes dans le sud du Pays par le transfert d’ambassades à Jérusalem, le match Israel-Argentine ne se déroulera pas à Jérusalem, les rumeurs fusent sur l’Eurovision qui serait boycotté s’il se passait à Jérusalem. Mais surtout, Israël aurait une « stratégie d’appropriation de Jérusalem » d’après un colloque arabe qui s’est déroulé fin mai sur l’enjeu de la Ville; Les arabes ont déclaré devoir « sauver l’unique et dernier espace civil palestinien, l’esplanade des mosquées ». Or « mal nommer les choses ajoute au malheur du Monde » disait Albert Camus. Car il n’y a pas d’esplanade des mosquées et il n’y a pas d’espace palestinien. Il y a l’unique et l’indivisible Capitale de l’Etat juif depuis trois millénaires, et en son centre le Mont du Temple où le peuple juif sert son D unique. La récente prise de conscience juive sur la profanation que revêt chaque jour la présence ennemie sur notre Lieu le plus Saint et la recrudescence récente fulgurante de juifs montant sur le Har Habait ont mis le doigt sur le cœur du conflit. Non pas un conflit géographique, mais un conflit religieux, un conflit d’identité. Cette bataille, nous ne devons plus la contourner. Durant 19 ans, de 1948 à 1967, nous avons honteusement accepté la partition de notre Capitale.<span class= »text_exposed_show »> Israël a été poussée par les pays arabes voisins à déclencher la Guerre des 6 jours, elle a été poussée à libérer Jérusalem alors que nous aurions dû prendre l’initiative de récupérer notre Capitale. 
Aujourd’hui, nous devons prouver à l’Eternel qui nous a gratifié de cette Terre et de cette Cité extraordinaire, et aux Nations du Monde que nous allons nous battre pour Jérusalem. Nous devons asseoir notre souveraineté sur chaque parcelle de la Ville, nous devons brandir haut et fier le Drapeau Bleu Blanc sur le Mont du Temple, bannir les horaires de visite sur Notre Lieu le plus saint car l’accès doit nous être libre, y monter en masse en priant et en chantant, n’en déplaise aux agents du Waqf. Ceci n’est pas une provocation. Ceci est notre Droit le plus élémentaire. Un droit de propriétaire, de souverain. Lorsque nous aurons le Mont du Temple réellement entre nos mains, le reste du conflit ne sera que détail. « Pour Jérusalem, je ne me tairai point. Et pour Sion je n’aurai point de repos »!
Nili Naouri – COORDINATRICE ISRAEL IS FOREVER
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