« Il existe en Israël une élite autoproclamée juridico-médiatique qui est convaincue d’être propriétaire du pays. Ainsi le système de cooptation par d’autres juges donne les résultats que nous savons sur l’influence gauchiste de la Cour Suprême et de ses malencontreuses décisions. Le respect initial dû au statut de juge a permis cet état de fait. Il s’agit d’un système juridique entièrement voué à prendre le pouvoir à la place du peuple et de ses élus légaux. Cette pseudo élite est une véritable clique et fonctionne selon le système d’un vase clos imperméable au sionisme national. Ce système juridique met en faillite les véritables valeurs démocratiques de l’État car il interdit à notre démocratie de se défendre contre les attaques de la cinquième colonne intérieure et de ses ennemis arabes. Il infiltre notre système de pensée pour tenter de le rendre inapte au combat. Au nom d’un « humanisme » libéral et progressiste totalement dévoyé, ces groupes expriment une compassion envers l’ennemi et affaiblissent notre Pays. Ce système s’attaque également aux valeurs juives de notre Patrie. Heureusement que la Haute Cour n’existait pas du temps de Moïse. Elle aurait certainement amendé et censuré les lois de la Torah et aurait suspendu les décisions divines. Elle aurait certainement cherché un compromis capable de plaire aux païens ennemis attaquant nos ancêtres.
Une chanson de la seconde guerre mondiale en yiddish « es brent » (au feu !) relate l’incendie qui dévore le shtetl pendant que les juifs regardent et gardent les bras croisés. Nous avons désormais tous les moyens d’éteindre tout incendie et de ne plus jamais garder les bras croisés. Il n’est que temps de les mettre en œuvre.
« Jacques Kupfer (zal), 2019.